Descende, sede in pulvere, virgo filia Babylon, sede in terra... Revelabitur ignominia tua et videbitur opprobrium tuum ; ultionem capiam, et non resisteret mihi homo.
Sede tacens, et intra in tenebras, filia Chaldæorum, quia non vocaberis ultre domina regnorum... Venient tibi duo hæc subito in die una : sterilitas et viduitas... Veniet super te repente miseria quam nescies.
Is., XLVII, 1, 3, 5, 9, 11)

Tu lis un texte qui a été écrit en breton, alors n’oublie pas que la littérature bretonne est comme toutes les autres : elle a son propre génie et son propre goût.

Ceux-ci peuvent être très différents de ceux (français, anglais…) dont tu as été imprégné à l’école. La littérature bretonne doit-elle être tenue en piètre estime pour cette raison ?

Aussi, rappelle-toi combien il peut être vain de comparer une littérature à une autre. Prends les textes comme ils sont, bonne lecture, et profites-en bien !

Une idée ? N’hésite PAS à me contacter, quelle qu’elle soit. Bien que je ne sois pas wonderwoman (et qui sait après tout ?), tu pourrais être surpris.e.
Les textes ci-dessus sont tous dans le domaine public selon la loi française (70 ans à compter de la mort de l’auteur), mais fais attention car d’autres lois peuvent étendre le délai de protection.
Sens-toi libre d’utiliser les textes pour quelque fin que ce soit, mais mentionne ce site, s’il te plaît ! Bien sûr, je remercie tous ceux qui me rapportent les erreurs et les imprécisions qui peuvent se glisser.
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